Comme le syndicat du crime Napolitano dont est tiré le nom de l’équipe, le FC GOMORRA ne peut être arrêté en coupant la tête ou en effaçant un composant.
« Je ne suis pas surpris par un seul joueur, mais par le groupe général », explique Gianluco Palombo, un « capo » qui a transformé un gros mélange de talent – jeune et vieux, de Laval et de l’Italie – en une entreprise de football fructueux, avec des ambitions grandissantes. « Je croyait qu’on aurait eu besoin plus de temps pour se bien connaitre. Cependant, nous avons réussi à devenir une vraie équipe en peu de temps. L’envie de gagner est toujours là, et nous jouons jusqu’à la dernière seconde de chaque match ».
Après avoir perdue leur premier match de la saison, suivi par deux matchs nuls en quatre semaines, FC GOMORRA a gagné huit matchs de suite. L’équipe est maintenant en première position de la division C4, et il reste seulement quelques matchs avant que le vrai concours commence.
Cela étant dit, ce groupe qui était une fois Italcanadese continue d’avoir des souvenirs amers des séries éliminatoires, sans victoire en 6 tentatives. C’est quelque chose que Palombo connaît bien.
« Le championnat est une chose, les séries éliminatoires sont une autre », dit Palumbo qui insiste que les équipes comme ACFC 1 et Furda Boys lui fait encore hésiter un peut. « Mais avec un peu d’expérience and du temps, les résultats sont venus. Je suis très fière de mon équipe. »

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